A l’occasion de la conférence Hawaii sur « Le PaaS, le bon compromis pour les TPE/PME», le CEO, Djamel Benyacoub a rappelé l’importance du Cloud. Celui-ci permet à toutes les sociétés de se retrouver sur un pied d’égalité technologiquement parlant. Au cours de cette conférence il a également démontré l’avantage du PaaS pour le TPE/PME.
3 questions pour Orféor
Bernard Andrieu, pourquoi avez-vous décidé de travailler avec Hawaii ?
Nous (Orféor) avions une question essentielle ; nous souhaitions être accompagnés dans le développement de notre outil pour la maintenance préventive et curative. Le besoin que nous avions était une mise à disposition de personnels, dans nos locaux, et sous notre responsabilité. C’était le point de départ. Et petit à petit est venue une autre question, à forte valeur ajoutée, qui était de nous aider dans l’appréciation des outils de développement que l’on devait utiliser.
Comment en êtes-vous arrivé à adopter Hawaii as a Service (HaaS) ?
Dans la mesure où nous travaillons pour le secteur public, c’est-à-dire des collectivités locales, la question de l’hébergement en France est un point important. Toutes avaient le souci de savoir où étaient hébergées leurs données. Jusqu’alors nos données étaient hébergées en Allemagne. Nous les avons donc rapatriées en France et avons délégué cette gestion à quelqu’un qui comprenait ce que nous faisions et qui avait participé au développement de notre outil. Nous avons fini par évoquer le sujet avec Djamel et nous avons doucement vogué vers ce qui était le PaaS, avant que ça devienne le HaaS. Voilà les raisons pour lesquelles nous avons ce partenariat.
Bernard, qu’est-ce qui a fait le succès de HaaS chez Orféor ?
Notre plateforme est une plateforme qui permet à nos clients de gérer en temps réel leurs stocks de dettes. Nous avons besoin de volume et de réactivité. En effet, cette dette contient des éléments statiques comme des tableaux d’amortissement … mais possède également toute une dimension reliée au marché financier. Quand on a besoin de matcher les cotations en temps réel avec une simulation de tableau d’amortissement, il faut que cela puisse être fait relativement vite. C’est donc le premier point important : la réactivité, l’adaptation, la flexibilité à nos besoins.
Le second point est le volume. Orféor traite parfois des volumes importants avec des milliers de lignes d’informations et nous avons besoin que tout fonctionne très vite et sur des plages horaires de 5 jours sur 7, sans qu’il n’y ait de ralentissement. En cela, HaaS répondait à nos besoins. Et au fil du temps HaaS s’est adapté, je crois que c’est un élément important. On a graduellement adapté les plages horaires à notre besoin, pour arriver à un système qui fonctionne bien et qui permet à nos clients de travailler de façon intelligente.
Après ce travail commun, une relation de confiance est née entre Hawaii et Orféor, pour laisser place, par la suite, à une réelle relation de partenariat. Hawaii a pu affiner son offre et Orféor à rester dans l’excellence.
Pour conclure , Djamel Benyacoub nous a rappelé l’importance du PaaS pour les TPE/PME à notre époque. Il nous a invité à ne pas tomber dans le piège : d’ignorer le Cloud. « Aujourd’hui, n’importe quelle société de n’importe quelle taille peut, en allant vers le Cloud, tirer parti de l’intelligence artificielle, du deep learning ou encore du Big Data. Les sociétés se retrouvent sur un pied d’égalité technologiquement parlant. »
[…] Avec la PaaS, les entreprises peuvent maîtriser la conception et l’évolution de leurs applications, sans se soucier pour autant des sauvegardes à chaque action ou encore des toutes les nouvelles versions de Windows à utiliser. A la différence du IaaS (Infrastructure as a Service) et du SaaS (Software as a Service). […]
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